Valérie Glatigny, ministre de l’Enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles, réitère son appel aux établissements d’enseignement supérieur à faire preuve de souplesse afin de proposer autant que possible des solutions adaptées aux étudiants qui ne pourraient pas présenter leurs examens pour cause d’isolement (positifs au Covid) ou de quarantaine. Les étudiants sont invités à prendre contact avec leurs établissements afin de trouver ensemble des solutions adaptées.  

 

 

 

Comme déjà indiqué par la Ministre Glatigny aux établissements par courrier le 23 décembre, ceux-ci peuvent par exemple faire usage de l’article 79, § 2, du décret « paysage » du 7 novembre 2013, qui permet de prolonger la session d’un étudiant pour des raisons de force majeure dûment motivées.

« Durant les sessions précédentes, des solutions ont pu être trouvées pour de nombreux étudiants. Nous appelons les établissements à ce que cela soit à nouveau le cas pour cette session de janvier 2022 », souligne Valérie Glatigny.

Il est crucial de rappeler qu’étudiant positif ne doit en aucun cas se présenter à un examen. Les règles d’isolement doivent être respectées afin de protéger la santé de tous.

Par ailleurs, face à l’inquiétude que peut susciter chez certains étudiants la croissance du nombre de cas positifs dans la société, la Ministre Glatigny tient à rappeler à tous les acteurs de l’enseignement supérieur l’impérieuse nécessité de respecter le protocole en vigueur.

« Le strict respect des gestes barrières permet d’assurer le maintien des activités d’apprentissage et d’évaluation en présentiel, essentielles pour les étudiants, tout en garantissant leur sécurité sanitaire. J’appelle donc tous les acteurs à continuer à les respecter scrupuleusement », ajoute Valérie Glatigny.

L’organisation prévue pour cette session de janvier 2022 - avec port du masque en tout temps et occupation d’1 siège sur 2 ou 1 siège sur 3, comme c’est traditionnellement le cas durant les épreuves – permet en effet aux étudiants de pouvoir présenter leurs examens en présentiel tout en limitant au maximum les risques de propagation du virus.

Ces mesures, jugées adéquates par les experts sanitaires, ont permis d’éviter, depuis la rentrée de septembre 2021, le développement de clusters au sein des établissements. 

La Ministre Glatigny tient enfin à souligner sa confiance, renforcée par l’expérience développée depuis le début de la crise sanitaire, dans la capacité des établissements d’enseignement supérieur et de leur personnel d’organiser les apprentissages et les examens dans de bonnes conditions sanitaires et pédagogiques.